J'ajouterai qu'une nouvelle scène de brûlante actualité représentant au cinématographe Galipaux cherchant à téléphoner vainement à Mlle Sylviac, a soulevé les plus francs éclats de rire.

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Le Figaro, Paris, 29 avril 1904, p. 5.

Le soir, je m'en vais à l'amusante Revue des Folies-Bergère. Et le cinématographe me montre Galipaux au téléphone, ivre de fureur, démollissant son appareil. Ferait-il pas mieux d'aller rue Jean-Jacques Rousseau, apprendre comment il fonctionne et prendre la leçon de patience qui s'y dégage, non des mots, mais des choses ? Séverine.

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Gil Blas, Paris, 22 mai 1904, p. 1.

Enfin le spectacle se terminera par la nouvelle création du Cinématographe Pathé, le "Cinémaphonographe", où l'on verra et entendra en même temps Galipaux dans son désopilant monologue : Le Téléphone.

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Le Figaro, Paris, 3 décémbre 1903, p. 2.

El telèfon, El mal de queixal, Broma de Carnaval, L'home de la por, El bagul màgic, El carrretó dels gossos. Els duros sevillanos, Soirée agitada, Qüestió d'honor... Pels títols podreu endevinar de qué es tractava. Uns sketchs a la barcelonina d'aleshores, empeltats de l'esperit del "CUCUT", no sabría com revelar-vos-els més pel clar.
Ja veieu que no tinc manies, i és perquè veig les cosas tal com són, que en aquesta ocasió m'abstinc de dir-vos quiins d'aquells episodis era autor jo mateix. Declino aquest honor!

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Adrià Gual, Mitja vida de teatre, Barcelona, Ed. Aedos, 1960.