Aladin ou la lampe merveilleuse

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Aladin ou la lampe merveilleuse

1. Aladin se désole au chevet du lit de son père, il est chassé par son oncle qui, voulant le dépouiller, l'enferme dans un souterrain.
2me décor. Aladin se lamente dans le souterrain, mais distrait par la lueur d'une petite lampe, s'en approche, la prend, et apercevant dessus une tache, il la frotte machinalement, une fée alors lui sourit, elle le change en jeune seigneur, et d'un coup de baguette le souterrain devient un palais !
3me décor.-Aladin conduit par la fée monte sur un trône et reçoit les salamaleks de ses vassaux. On vient lui présenter de riches étoffes. O stupéfaction !... Ce sont celles que son oncle a volées dans la chambre de son père. Aladin ordonne qu'on enferme le misérable dans le souterrain.
4me décor. L'oncle en proie à de vives alarmes se débat contre un diable qui veut l'enfourcher. Aladin paraît, il se traîne à ses genoux, lui demande pitié, alors se tournant vers la fée, Aladin lui ordonne de chasser le diable, qui d'un coup de baguette, s'en va en fumée. L'oncle lui promet obéissance et Aladin pardonne.

MENDEL 1901a

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1 Mendel 002-005 Mendel 002-005
 

De leurs productions nous nous rappelons la très gracieuse Fantasmagorie enfantine; la délicieuse Bataille d'oreillers faite avec les deux fillettes de M. Mendel qui avaient 3 et 4 ans [sic]; la Loupe de Grand-maman; la Leçon de bicyclette, films de 20 mètres; puis un Aladin de 80 mètres, ce qui était à l'époque considéré comme un tour de force.


COISSAC G.-M. "Le Cinématographe. Hier. Aujourd'hui. Demain", La Revue Française de Photographie et de Cinématographie, nº 242, 15 janvier 1920, p. 20.

2 n.c.  
3   80 m. 140 fr.
4 [France].  

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