Bataille d'oreillers

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Bataille d'oreillers

Dans un dortoir, 5 enfants sont couchés, l'un d'eux fait des espiègleries à une petite fille, qui, en colère, lui lance son oreiller à la tête, les autres se réveillent, tous les oreillers alors se mettent de la partie, ils se déchirent, les plumes s'envolent. Au fort de la mêlée la bonne vient rétablir l'ordre en donnant des tapes.

MENDEL 1901a

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Au nombre des fournisseurs de la "belle" clientèle foraine, on trouve M. Georges Mendel, qui a produit un certain nombre de sujets très plaisants, d'environ vingt mètres: la Fantasmagorie enfantineune Bataille d'oreillers, interprétée par deux charmantes fillettes de 13 et 14 ans; la Loupe de grand'maman, gros succès pour l'époque. M. Mendel se risqua ensuite dans un film à long métrage, Aladin (80 m).


COISSAC G.-Michel, Histoire du cinématographe de ses origines à nos jours. Préface de J.-L. Breton, de l'Institut. Ed. du Cinéopse et Librairie Gauthier-Villars, Paris, 1925, p. 383.

De leurs productions nous nous rappelons la très gracieuse Fantasmagorie enfantine; la délicieuse Bataille d'oreillers faite avec les deux fillettes de M. Mendel qui avaient 3 et 4 ans [sic]; la Loupe de Grand-maman; la Leçon de bicyclette, films de 20 mètres; puis un Aladin de 80 mètres, ce qui était à l'époque considéré comme un tour de force.


COISSAC G.-M. "Le Cinématographe. Hier. Aujourd'hui. Demain", La Revue Française de Photographie et de Cinématographie, nº 242, 15 janvier 1920, p. 20.

2 n.c. Georgette Mendel. Fernande Mendel.
3   20 m. 35 fr.
4 [France].  

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