Le cinématographe de Jean Prinsac et Louis Vernet (mars 1897)
Les opérateurs Jean Prinsac et Louis Vernet, en provenance de Bougie présentent le cinématographe Normandin. Dans la correspondance "Prinsac", on ne retrouve que peu de traces de ce séjour :
[...] Notre voyage à Sétif nous a coûté cher, nous n'avons rien fait, le public ne voulant pas venir, au bout de 8 jours, voyant tous les jours s'accroître le déficit malgré affiches, prospectus, tranche Lard, [illisible], etc., nous sommes venus planter notre tante ici, expression réelle, à Sétif déficit 46, je dois 30 f. à Vernet.
Jean Prinsac, Mon cher Gaston, Constantine, 30 mars 1897.
Par l'en-tête du courrier, nous savons que Jean Prinsac est logé à l'hôtel d'Orient d'Eugène Espérandieu, rue de Constantine. Les deux collaborateurs quitte Sétif pour se rendre à Constantine.