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Les Lutteurs apparaissent alors d’une façon parfaite et leurs exercices provoquent un enthousiasme qui tient du délire. On se lève, on crie quand l’un des lutteurs tombe : Il y est ! Non ! Il se relève ! Ça y est ! et les applaudissements d’éclater avec une ardeur sans égale. Journal de Seine-et-Marne, Meaux, 16 septembre 1896, p. 3.
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