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Au Gymnase, l'avant-dernier programme du "chronophone Gaumont" avait attiré une telle foule, le jour de l'Assomption, qu'on a été obligé de refuser du monde. Vit-on jamais spectacle plus vrai ? Opéras, la Juive, Les Dragons de Villars. Phono-scènes comiques, les Cornemuseux, le Repos hebdomadaire, sans parler des bandes cinématographiques ordinaires qui, les uns gaies, les autres dramatiques, s'adaptent à tous les goûts, ni des si artistiques photographies en couleur. Hâtez-vous : on ferme à la fin du mois ! Le Petit Parisien, Paris, 17 août 1907, p. 5.
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