À onze heures et quart, les chars sont tous garnis, et l'arrivée des gracieuses chattes qui vont garnir le char du concours des chats provoque des miaulements terribles de la figuration.
Faubourg Saint-Antoine
Ici la joie est exubérante : en attendant le passage du boeuf gras, on s'amuse ferme.
Signalons le succès que remportent à leur passage, ici, le char de la Charcuterie et celui de la mère Michel et de ses chats.
La Presse, Paris, 1er mars 1897, p. 1.