Le Circuit d'Auvergne n’est-il pas la vivante réalité d’une course d’automobiles lancées à toute vitesse ? On les voit poindre dans le lointain, s’annonçant par un léger nuage de poussière qui va grossissant, puis, soudain, vertigineuse, l’auto surgit comme un monstre, dévorant l’espace. On croit entendre le sourd grondement du moteur et les lugubres mugissements de la corne d’appel !