Les hommes défilent à une allure dégagée. Ils sont presque tous de la même hauteur et leur face rasée leur donne un aspect tout à fait jeune. Les compagnies se succèdent et la formation du défilé semble changer, car on aperçoit une compagnie en ligne déployée ayant au centre les tambours. La musique apparaît dans le fond. Il est à remarquer que les soldats ont le fusil sur l'épaule gauche et les officiers le sabre levé et à droite.
Je bourlinguai énormément : l'Amérique, la Russie où je tournai moi-même, en 1902, le voyage du président Loubet.Le Petit Parisien, Paris, 11 août 1943, p. 2.