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Cine Vistillas (Centro, Palacio)

La presse de l'époque ne mentionne pas l'existence de ce cinéma à Madrid.

Pablo et Luis regardent l'affiche du film Les Trois Lanciers du Bengale que projette le Cine Vistillas, derrière San Francisco el Grande.

N.B. Gil Parrondo, le directeur artistique, a reconstruit le cinéma dont il a gardé le souvenir, à l'endroit où il se trouvait en 1936.

Rue donnant accès à la Plaza Mayor [à confirmer]

Dolores et Antonia font leur marché.

Plaza de la Paja (Centro)

La Plaza de la Paja, d'une forte déclivité, était le centre névralgique du Madrid médiéval. À partir du XV^e siècle, elle décline, mais elle restait un lieu privilégié des familles nobles et de l'église. Elle doit son nom à une obligation faite aux habitants du secteur de fournir en paille les religieux.

De retour du marché, Dolores, accompagnée d'Antonia rentre chez elle. 

Cuesta de Moyano (Retiro)

Elle doit son nom à Claudio Moyano (1809-1890), homme politique libéral-progressiste. C'est en 1925 que s'intallent les bouquinistes. Les stands sont dûs à l'architecte Luis Bellido. En 1986, les anciens stands en bois furent remplacer par de nouveaux plus modernes, même s'ils ont conservé, à l'identité, leur aspect extérieur.

Manolita parcourt les stands de livres lorsque Julito apparaît.

Paseo del Prado (Retiro)

Ce plus ancien jardin historique urbain est une des belles promenades sur un axe Nord-Sud. Il commence sur la Plaza de la Cibeles et se termine à la Glorieta de Atocha. Lieu de prostitution, illustré par Goya dans son Sueño 19 ("Las viejas se salen de risa porque saben que él no lleva un cuarto")

Pedrito, fils de doña Antonia, retrouve une prostituée sur la promenade.