GALERIE

AUTRES TABLEAUX

Francisco de Goya 
<p><i>Joaquina Candado</i><p>c. 1802-1804<p>huile sur toile<p> 169 x 113,5 cm<p>© Valence, Musée.
<hr>Joaquina Canda(d)o Ricarte /1769-), fille du militaire Joaquín Canda(d)o et de Josefa Ricarte, vit à Saragosse jusqu&apos;en 1792. Elle épouse Miguel Leandro de Echeverría, lieutenant à Ronda, en premières noces, puis en 1792, en secondes noces, Matías González, Payeur de la Real Fábrica de Salitre (Madrid) et s&apos;installe à Madrid.
Francisco de Goya 
<p><i>La femme du libraire</i><p>c. 1805-1808<p>huile sur toile<p> 109,9 x 78,2 cm<p>© Washington, N. G.
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Francisco de Goya 
<p><i>Tadeo Bravo de Rivero</i><p>1806<p>huile sur toile<p> 208 x 125 cm<p>© Brooklyn, Museum
<hr>Tadeo Diego José Bravo de Rivero y Zavala (1754-1820), fils de Pedro Bravo del Rivero y Correa et de Petronila Ana de Zavala y Vásquez de Velasco, est né à Lima (Pérou). Il est docteur en droit (Universidad de San Marcos), Concejal de Lima. Chevalier de l&apos;Ordre de Saint-Jacques (1790). Il part en Espagne et entre en relation avec les cercles ilustrados madrilènes. Il est regidor de Madrid, sous le règne de Joseph 1er, et commande à Goya la toile Alegoría de la Villa de Madrid. Accusé d&apos;afrancesado au retour de Ferdinand VII, il perd tous ces biens et charges, même s&apos;il en récupère une partie 1816.
Francisco de Goya 
<p><i>Amalia Bonnels de Costa</i><p>c. 1808-1813<p>huile sur toile<p> 87,3 x 65,4 cm<p>© Detroit, Inst. of Arts
<hr>Amalia Bonnels épouse Rafael Costa de Quintana.
Francisco de Goya 
<p><i>Pepito Costa y Bonells</i><p>1813 (?)<p>huile sur toile<p> 105,1 x 84,5 cm<p>© New York, M. M. A.
<hr>José Costa y Bonells (1802-1871), fils de Rafael Costa de Quintana, médecin de Ferdinand VII, et de Fernanda Bonells, fille de Jaime Bonells, médecin de la duchesse d&apos;Albe. On sait peu de choses sur lui si ce n&apos;est qu&apos;il fait partie (1820) de la Milicia Local Voluntaria de l&apos;Infanterie de Madrid.
Francisco de Goya 
<p><i>Juan Antonio Llorente</i><p>c. 1810-1812<p>huile sur toile<p> 189,2 x 114,3 cm<p>© Sao Paolo, Musée
<hr>Juan Antonio Llorente (1756-1823), fils de Juan Francisco Llorente Alcaraz y de María González, il fait des études de philosophie et de droit, puis est ordonné prêtre en 1779. Commissaire du Saint Office de l&apos;Inquisition (1785), il vient à Madrid où il continue ses activités et participe à trois procès (1790). Cependant, à cause de ses positions critiques et libérales, lors de la rédaction d&apos;un rapport sur l&apos;Inquisition, il est démis de ses fonctions (1801) et se retire dans un couvent (1801-1805). Lors de l&apos;invasion française, il prend partie pour Joseph Bonaparte et lui envoie un Règlement pour l&apos;Église espagnole où il propose un profonde réforme. Il prend fait et cause pour le nouveau régime et milite pour l&apos;abolition de l&apos;Inquisition. En 1814, il part pour l&apos;exil en France et se consacre à la rédaction de sa célèbre Histoire critique de l&apos;Inquisition d&apos;Espagne (1817-1818). Ses positions favorables au coup d&apos;état de Rafael del Riego (1820) et son soutien au Triennat libéral font qu&apos;il est expulsé de France et il rentre en Espagne (1822) et meurt peu après (1823) à Madrid.
Francisco de Goya 
<p><i>Ignacio Omulryan</i><p>1815<p>huile sur toile<p> 83,8 x 64,8 cm<p>© Kansas City, Nelson Gal.-Atkins Museum
<hr>Ignacio Omulryan y Rourera (1752- c. 1826), descendant d&apos;une famille noble irlandaise et d&apos;une importante famille barcelonaise. Militaire, lieutenant de cavalerie de l&apos;Ejército Mayor, Directeur des Postes, il est nommé ministre du Consejo de España e Indias (1810) et vice-président de la Real Compañía de Filipinas. (1810)
Francisco de Goya 
<p><i>Miguel Fernández Flores </i><p>1815<p>huile sur toile<p> 100,3 x 84,1 cm<p>© Worcester (Mass.), Museum
<hr>Miguel Fernández Flores (1764-1822) est nommé évêque auxiliaire de Quito, puis évêque in partibus (1815) de Marcópolis, puis administateur apostolique de Quito. Il ne semble jamais avoir été en Équateur, et il intègre, postérierement, le Consejo del rey.

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